Au centre, il y a d’abord l’écriture de mes livres, le noyau dur. Puis il y a les sculptures, comme la projection poétique en volume de ce que les mots ne pourraient peut-être pas atteindre. Ensuite, mais il n’y a pas de règle, vient parfois une photographie. Il faut alors qu’elle nous entraine ailleurs, qu’elle nous donne davantage à voir que la pièce d’origine. Un détail peut être isolé.
De courtes nouvelles, accompagnées d’une ou plusieurs photographies, sont également affichées sur les murs. Elles proposent un cheminement à travers l’exposition.
Celle-ci est l’occasion de rencontres accompagnées de lectures publiques. À la demande, des ateliers d’écriture ainsi que des ateliers de détournement d’objet (sculptures-livres) peuvent être mis en place. Vous trouverez plus de détails sur ces différents ateliers dans la section Médiation Culturelle.
Pour finir, je souhaiterais rappeler le sens étymologique du mot photographie : Écrire avec la lumière.